Peut-on vraiment vivre jusqu’à 110 ans tout en gardant énergie, autonomie… et un sourire sincère ? Vincent Dransfield l’a prouvé. Ce centenaire actif cache un secret de santé simple, mais étonnant. Et surtout, un aliment qu’il n’a jamais touché. Intrigué ? Voici comment il a défié le temps, sans perdre sa vitalité.
Un supercentenaire toujours debout, et sans aide
À 110 ans, Vincent Dransfield fait partie d’un club très fermé : celui des supercentenaires, ces rares personnes à dépasser les 110 ans. À ce jour, seulement 68 individus dans le monde sont officiellement répertoriés dans cette catégorie, dont trois hommes de 115 ans.
Mais ce qui rend Vincent unique, au-delà de son âge, c’est sa forme. Il habite encore seul dans sa maison à trois étages, cuisine ses repas, planifie son quotidien… sans aucune assistance. Une autonomie impressionnante qui interroge forcément : comment fait-il ?
Une vie de pompier, une passion vitale
Vincent a passé une grande partie de sa vie comme commandant chez les pompiers volontaires du New Jersey. Il ne prétend pas avoir été un sportif acharné, mais il estime que son métier a été une source d’énergie constante.
Chaque jour, il se levait avec un but. Il y a trouvé des liens solides, une forme de fraternité qui lui a notamment permis de traverser la perte de son épouse avec courage.
Et la science lui donne raison. Avoir une vie sociale engageante et rester actif sont des facteurs connus pour préserver les fonctions cérébrales et freiner certaines maladies comme Alzheimer.
Des plaisirs simples, sans excès
Vincent ne suit aucun régime miracle. Mais il a toujours cuisiné lui-même, se tenant ainsi à l’écart des produits ultra-transformés. Ce détail, apparemment banal, est pourtant crucial.
Jeune, il a grandi dans une ferme. « Je buvais du lait, je mangeais bien… et je travaillais dur », se rappelle-t-il. Ce mode de vie lui aurait donné une bonne base physique.
Et aujourd’hui encore, il ne se prive pas de plaisirs. Parmi ses favoris :
- La cuisine italienne
- Un peu de chocolat
- Un hamburger de temps en temps
- Son café du matin
- Et parfois, une bière
Ces petits plaisirs, consommer avec modération, participent selon lui à son bien-être. Il ne se frustre jamais complètement, mais connaît l’importance d’un juste équilibre.
Un mental d’acier et beaucoup d’amour
Pour Vincent, le corps ne va jamais sans l’esprit. Il a toujours cultivé un état d’esprit positif, un optimisme à toute épreuve qui l’a aidé à surmonter les difficultés. Selon lui, c’est un ingrédient aussi essentiel que la nourriture.
Et puis, il y a l’amour. Son histoire avec sa femme, disparue en 1992, reste l’un des piliers de sa vie. Il en est convaincu : « Aimer fait vivre plus longtemps ». Entre passion, tendresse et rires, leurs liens ont été une force invisible irremplaçable.
Le seul aliment qu’il n’a jamais touché
Voici l’information qui surprend le plus : malgré tous ses plaisirs simples, il y a un aliment que Vincent n’a jamais mangé en 110 ans. Lequel ? Le fast-food industriel type McDonald’s. Pourtant amateur de hamburgers, il les prépare lui-même ou les choisit avec soin. Aucun repas avalé à la va-vite, aucune frite surgelée noyée dans l’huile. Une ligne qu’il n’a jamais franchie.
Et ce détail pourrait faire toute la différence. De nombreuses études montrent que les produits de fast-food sont liés à une inflammation chronique, au surpoids et à une espérance de vie réduite.
Une vie pleine de sens
Vincent Dransfield ne doit pas sa longévité à un régime strict ni à des entraînements intensifs. Mais plutôt à un art de vivre équilibré, ancré dans :
- Une activité utile et sociale (le métier de pompier)
- Des repas faits maison
- De petits plaisirs, sans excès
- Un mental positif
- Et des liens affectifs solides
À travers ses choix simples, mais constants, il nous rappelle que vieillir en bonne santé n’est pas forcément une question de sacrifices… mais de priorités bien posées.
Et vous, quel serait l’aliment que vous décideriez de ne jamais manger pour vivre plus longtemps ?




